La mauvaise qualité des eaux utilisées à des fins récréatives pose un risque de maladies gastro-intestinales aiguës pour les personnes qui fréquentent les plages et qui participent à des activités aquatiques. Au Canada, la concentration d’Escherichia coli (E. coli) est surveillée régulièrement par les bureaux de santé publique, qui font ensuite des recommandations en matière de gestion des risques concernant la qualité de l’eau des plages. Les délais de traitement en laboratoire donnent toutefois lieu à des retards dans l’obtention des résultats des analyses d’eau. Par conséquent, la décision de considérer une plage comme sûre pour la nage est fondée sur les données de la journée précédente. Les concentrations d’E. coli détectées peuvent être influencées par plusieurs facteurs environnementaux et climatiques qui peuvent occasionner des changements dans la qualité des eaux en peu de temps. Une meilleure compréhension de ces facteurs pourrait contribuer à accélérer les…
Le CCNSE offre régulièrement des présentations dans le cadre d’activités liées au secteur de la santé environnementale tenues partout au Canada, et il organise des ateliers ainsi que des réunions sur divers sujets. Vous trouverez ici une liste de certaines présentations faites dans le cadre de conférences et de webinaires d’organismes externes, en plus de présentations tirées de notre Série de séminaires sur la santé environnementale.
Les substances chimiques sont partout - dans l'air, le sol, l'eau, les produits et les aliments - et peuvent être introduites dans l'organisme par ingestion, inhalation et contact avec la peau. La biosurveillance humaine évalue les niveaux actuels de substances chimiques ou de leurs produits de dégradation dans le corps humain. Ces mesures peuvent être effectuées dans le sang, l'urine ou d'autres tissus et fluides tels que les cheveux, les ongles et le lait humain. Les données de biosurveillance humaine sont utilisées par les professionnels de la santé publique, les chercheurs, et les évaluateurs et gestionnaires des risques pour évaluer les expositions et élaborer des politiques visant à protéger la santé de des Canadiens.
Depuis plus de quinze ans, Santé Canada dirige un programme de biosurveillance humaine solide et à multiples volets, qui comprend la réalisation d'études coordonnées, la recherche et l'exploitation de l'expertise scientifique au Canada et à l'…
CO2 monitoring is an established tool to assess occupancy and ventilation requirements for indoor spaces, typically for the purposes of increasing energy efficiency. During the pandemic, it is critical that spaces are adequately ventilated for the number of occupants and type of activities, but it is often unclear if ventilation objectives are being met. CO2 monitoring can help to address ventilation inadequacy, provided that users are able to install, monitor, interpret, and react to these devices. However, there are a number of technical and risk communication challenges regarding CO2 monitoring by non-expert occupants, including the tendency to misinterpret CO2 as a direct indicator of COVID-19 risk. This webinar will review some of the public health commentary or guidance on CO2 monitoring during the pandemic, and will identify the more challenging aspects of this practice to help facilitate decision-making and communication around CO2 sensors.
Almost two years since the start of the pandemic, significant psychosocial impacts are still observed in the Canadian population. The results of various surveys, as part of a study carried out by Université of Sherbrooke with the collaboration of international universities, have depicted the association between various risk/protective factors and mental health in times of pandemic. The most recent survey was conducted in October 2021 (in Canada, New Zealand and Switzerland) among a large and representative sample of adults. Special attention will be paid to the evolution in anxiety and depression and its associated risk/protective factors, as well as to a newly explored concept called “pandemic fatigue”. In addition to these results, some interesting comparisons between the attitudes, perceptions and responses towards the COVID-19 pandemic and climate change will be made. Lessons in disaster risk management learned over the past two years can indeed be utilized to enhance risk…
The risk of contracting coronavirus varies among people and places, making some British Columbians more likely to be exposed to COVID-19 than others, due to socio-economic factors, occupational hazards, personal behaviours or other factors that are amplified in places characterised by increased risk of transmission. To better understand this, we developed a vulnerability model to identify differences in COVID-19 risks across neighbourhoods, visualized in a series of maps on a public-facing dashboard that indicate where to focus policy and public health efforts. In this presentation we discuss how we worked with patient partners and some of the actions that have been informed by our maps.Dr. Valorie Crooks, Professor, Simon Fraser UniversityLeah Rosenkrantz, EH & KT Scientist, NCCEH
In the past decade, climate change-exacerbated landscape disturbances such as wildfires and floods have threatened water security by altering not only water availability, but also source water quality and consequently treatability. An international panel convened by the Canadian Water Network and the Water Research Foundation in 2014 concluded that sole reliance on in-plant treatment technologies for mitigating such risks is inadequate.
Algae blooms—especially cyanobacteria—pose some of the greatest associated challenges to drinking water treatment. Cyanobacteria blooms can reduce drinking water treatment process efficiency, leading to service disruptions, inability to meet community demands, and even outages. Moreover, they can produce toxins that expensive advanced treatment not found in most conventional treatment plants.
Traditional source water protection approaches are alarmingly inadequate for managing these threats, especially in a changing climate. These…
Ce webinaire est présenté en anglais
Les lignes de distribution d’eau, les canalisations dans les maisons et les grands bâtiments, et les eaux utilisées à des fins récréatives (piscines, spas, jeux d’eau) peuvent abriter un éventail de pathogènes opportunistes (PO), comme les bactéries du genre Legionella, qui peuvent causer de graves infections et flambées de cas chez les personnes vulnérables exposées. De nombreux facteurs interreliés peuvent avoir un effet sur la présence et la prolifération des PO dans les réseaux d’alimentation en eau et la probabilité d’exposition, y compris le réchauffement climatique, les précipitations, l’humidité, l’augmentation du conditionnement de l’air et des besoins en climatisation, et les mesures d’économie de l’eau. Cette présentation explore certaines des répercussions possibles du changement climatique sur la présence des PO et l’exposition à ceux-ci dans les milieux urbains et certaines des mesures qui pourraient être adoptées pour…
Santé Canada a publié ses nouvelles recommandations concernant le plomb présent dans l’eau potable en 2019. Le document contenait des recommandations pour les protocoles d’échantillonnage de l’exposition au plomb, tels que l’échantillonnage aléatoire et l’échantillonnage après une période de stagnation fixe. Le protocole sera choisi en fonction de l’objectif de l’échantillonnage (ex. exposition typique), du type d’immeuble (ex. maisons unifamiliales, grands bâtiments, écoles) et de facteurs tels que la configuration de la plomberie, l’utilisation de l’eau et le profil des consommateurs. Services aux Autochtones Canada a mené une enquête par échantillonnage en Alberta pour déterminer le niveau de plomb dans les écoles et les services de garde avant de proposer de nouvelles recommandations. On voulait identifier les sources de plomb potentielles et évaluer la conformité avec les recommandations mises à jour.
France LemieuxDirectrice, division des ressources…
The NCCEH Environmental Health Seminar Series provides an opportunity for learning and knowledge exchange on a variety of environmental health topics. The seminars can be attended in-person or online.
The transmission of COVID-19, which occurs primarily through close contact with an infected person, has made it necessary for large proportions of the world’s population to self-isolate in their homes. However, those dwelling in multi-unit residential buildings (MURBs) face additional challenges as they must necessarily use and share common areas and facilities, and are dependent upon building managers to maintain good indoor environmental quality (IEQ). Based on a recent NCCEH publication, this webinar will look at some of the evidence on COVID-19 transmission and consider how this applies to transmission risk in MURBs. We will discuss current cleaning and sanitation guidance from the Public Health Agency of Canada and other public health agencies.
Dr. Angela…